Recherche avec du fil de pêche à la traîne en cuivre

L'une des meilleures choses à propos du début de chaque saison est de saisir les boîtes à leurres, quelques bâtons et de remettre les anciennes veilles en ligne. Nous avons donc officiellement lancé la saison 2013 la semaine dernière, et je me souviens avoir passé en revue quelques scénarios possibles sur ce que le programme allait être la première fois que nous l'avons déployé là-bas.

Bien sûr, nous nous sommes retrouvés à partir après une semaine de pluies torrentielles soufflant sur toutes les rivières et tous les ruisseaux, et des coups de vent de toutes les directions. Ainsi, le programme côtier a été pratiquement anéanti, et courir vers le no man's land n'était pas un pourcentage élevé.

Nous avons donc pris une photo et glissé là où nous pensions qu'une structure pourrait briser l'eau de lait au chocolat près du rivage et nous avons trouvé une fente d'eau claire... 50 pieds. Pensant que c'était peut-être là que nous trouverions cela, nous avions installé le gréeur standard et les tiges de plongeur en fil, mais la question était de savoir où nous allions tirer nos longues lignes.

Beaucoup de gars regarderont le calendrier et diront qu'il doit s'agir de lignes plates ou de noyaux super peu profonds avec des appâts en bâton à la recherche de coho et peut-être d'une truite brune ou d'une truite arc-en-ciel. Nous avons mis une tige là-haut et avons décidé de travailler du milieu vers le bas de la colonne d'eau... sachant qu'il est peu probable qu'après le temps récent, quelque chose se nourrisse haut.

C'est là que le jeu du cuivre se définit. Nous échelonnons nos cuivres en segments de 50 pieds, toujours. Donc, les 100, 150, 200 et 250 sont sortis, ce qui nous couvrirait à peu près de 20 jusqu'au bas.

Il n'a pas fallu longtemps jusqu'à ce que 150 soient allés, quelle surprise. Le cuivre ayant la plus forte probabilité d'aller dans n'importe quelle situation est probablement le 150 32 livres de cuivre . ..on ne peut pas le nier.

Mais ... le seul poisson que nous marquions était juste au fond, rien plus haut où se trouvait le 150.

Nous pensons donc que 30ish vers le bas est l'endroit où nous pourrions vouloir glisser quelques autres cannes juste pour voir s'il y a plus de poissons actifs qui s'y nourrissent bien qu'ils ne les marquent pas à l'écran. Montez les outdowns à 29 et 25, et les plongeurs bas jusqu'à 60 sur un cadran de 1,5. Bang bang... jeu sur.

Sans ce coup de cuivre, nous n'aurions pas su tirer notre programme de gréeur et de plongeur de bas en haut où nous « pensions » que l'action pourrait être parce que nous « voyions » du poisson à l'écran. Cela a fini par être le dernier tir sur le cuivre de 150 pieds, mais cela avait maintenant défini notre programme de gréement et de plongée pour le reste de la journée qui a continué à aller à cette profondeur.

La prochaine séquence d'action était les 200 et 250 allant de pair pour à peu près le reste du voyage. Compte tenu de cette action, vous penseriez abaisser davantage le reste de votre programme à cause de toute cette action ... cependant, ils ne voulaient que les cuivres là-bas et rien d'autre. Ces poissons plus profonds que nous avons vus à l'écran ne voulaient que du cuivre, nous n'avons pas pu les amener à toucher un gréeur ou un plongeur le reste du voyage.

Pour faire court, comme d'habitude, les cuivres nous donnent tellement d'indices sur l'endroit où l'action se déroule. Ils nous donnent des options pour essayer de dupliquer sur nos autres cannes et essentiellement "trouver" le poisson pour que nous puissions également composer le reste du programme. Sans tout ce cuivre "sondant" différentes couches de la colonne d'eau, nous aurions volé à l'aveuglette en nous fiant à nos autres tiges attendant que quelque chose se produise. Et étant donné la façon dont ces "autres" tiges ont commencé, la journée aurait été très très longue si nous n'avions pas été incités à les tirer un peu plus haut par nos cuivres plus courts.